Le Doute et l’Anxiété, vieilles ennemies liées qui s’accrochent et m’écorchent, retirant à ma vie petites joies, grandes folies, ne laissant qu’une friche, terre rase et boueuse.
Waterloo trop présent d’un retour qu’on attend, ne trop savoir comment, ne trop savoir pourquoi, à quoi bon, vieille antienne anonnée qui resume en un souffle celui qui manque encore au démarrage des temps.
Alors on avance, zombie, au son du métronome, on claudique, maladroit, se tient au bastingage et rugit dans le froid : lâchez-moi, laissez-moi, ennemies d’autrefois !
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