Elles m’ont toujours fasciné, ce côté ciselé, cette précision infinie, ce train qui ne bave pas et sépare l’espace comme un scalpel coupe les chairs. Les gravures (ou eaux fortes) sont un monde binaire et tellement poignant.
Dürer comme Grand Maitre, ces artistes artisans subliment la plaque de cuivre, impriment le papier d’un oeil méticuleux d’une quête d’infini.
C’est en bordure de Saône accompagné d’amis dans cette belle ville lyonnaise où vivre prend tout son sens que mes yeux sont happés par ces figures escheriennes aux dimensions contraires où la physique s’efface là où commence le rêve.
Vassilev Vesselin, voici donc cet artiste qui m’émeut dans cette belle capitale et qui le temps d’un échange offrira à ma vue quelques oeuvres infinies.